Le Lab MéthOde
MéthOde s’agence comme un Lab ouvert, offrant un espace de co-construction inventif entre le monde de la recherche universitaire et celui de l’action de terrain.
Il s’organise autour d’un réseau actif d’acteurs indépendants (universitaires, doctorant.es, ingénieur.es d’études, cinéastes, professionnels de terrain, chercheurs-pairs) mobilisables en fonction des attentes, des enjeux et des domaines de spécialités.
Le Lab articule ainsi efficacement trois principaux types de savoirs : l’objectivité et la prise de recul des sciences sociales, l’expertise et les connaissances fines issues de la pratique de terrain ainsi que le ressenti et l’appréciation tirés de l’expérience.
Mathias Seguin
Sociologue et Politiste, diplômé de Sciences Po Rennes et Docteur en Sociologie (Phd), j’ai réalisé ma thèse en partenariat CIFRE entre le laboratoire ARENES (CNRS UMR 50-62) et le CHRS Buzenval (Groupe SOS Solidarités).
Passionné par la recherche empirique et ayant le souci de l’amélioration des pratiques, je me suis spécialisé dans la recherche-action et les techniques participatives de mesure de l’impact social. J’ai notamment conduits plusieurs évaluations embarquées autour des thématiques de l’action sociale, de la pauvreté, de l’inclusion, de la santé mentale, du rétablissement et du développement du pouvoir d’agir.
Mes principes
En tant que Lab, je me repose à la fois sur une éthique fondamentale de la recherche scientifique et sur les valeurs l’Économie Sociale et Solidaire. Dans l’ensemble de mes interventions et réalisations, je m’astreins au respect de trois principaux critères.
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Mes références sont toujours issues de travaux de recherche publiés au sein de revues à comités de lecture ou d’ouvrages, individuels et collectifs, d’éditeurs reconnus par la communauté scientifique. Je défends une approche pluridisciplinaire de l’analyse et cherche à constamment m’inspirer de travaux ayant fait leurs preuves dans des secteurs exogènes à mes domaines d’expertise.
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Mes méthodologies d’accompagnement au design comme à la réalisation d’études d’impact sont le fruit de l’articulation entre les méthodes classique des sciences sociales et les nouvelles pratiques de science participative. Je prends notamment appui sur les expérimentations de recherches collectives réalisées en éthologie, en zoologie, en phénologie, en météorologie et, plus récemment, en sociologie et en sciences politiques.
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Je mets un point d’honneur à faire sortir les sciences sociales du laboratoire. Je crois en leur capacité à contribuer à l’émancipation, l’inclusion et l’autonomie réflexive des populations comme des organisations. Je m’adresse en cela aux acteurs et aux structures qui aujourd’hui participent, par leurs idées, leurs actions et leurs pratiques, à l’amélioration qualitative de la société de demain.